De l’immobilier sans capital

Plus : la meilleure technique pour commencer à gagner en immobilier


Bonjour,

Ravi de vous écrire aujourd’hui sur le sujet de l’immobilier.

Vous êtes peut-être déjà propriétaire d’un bien immobilier, ou vous êtes déjà propriétaire de plusieurs biens, selon votre parcours, vos connaissances, votre évolution et vos moyens.

Pendant notre parcours scolaire, on nous a appris à obtenir un diplôme, trouver un travail, se marier et avoir des enfants, acheter une résidence principale, puis prendre sa retraite vers 60 ans pour profiter de temps de libre.

Certains ont dit aussi qu’avoir une belle montre à 50 ans ou une résidence secondaire au même âge sont signes de réussite, soit de richesse.

Je ne parlerai pas ici du débat entre richesse matérielle et connaître le bonheur, pour qui chacun a généralement une définition différente.


Il y a un monde restreint de personnes qui réussissent financièrement, et investissent notamment dans l’immobilier.

Certains formateurs en activité vous vendent des formations de qualité, vous expliquant de A à Z comment devenir marchand de biens légalement, et continuer à payer ses impôts en France, tout en gagnant des sommes allant de 5 à 6 chiffres par opération immobilière.

Ici, je ne parle pas de l’immobilier locatif, qui fonctionne et fonctionnera toujours, mais de l’achat / revente de bien immobilier.

Pour devenir marchand de biens immobiliers, la première étape est de devenir propriétaire de sa résidence principale. Jusque là, on ne nous a pas dit n’importe quoi à l’école.

Cependant, l’aspirant marchand de biens ne va pas rembourser un prêt immobilier sur 25 ans.

Il va acheter sa résidence principale, l’embellir lui même et/ou avec l’aide de professionnels, puis la revendre avec une plus value. Ce, dans un délai que l’on dira rapide, soit moins d’un an quand les connaissances sont présentes.

Puis, l’aspirant marchand de biens répète une affaire similaire une fois ou deux supplémentaires et là, peut accéder au statut de marchand de biens, qui offre de nombreux avantages dans l’immobilier.


Le principal problème est de pouvoir accéder à la propriété au départ, c’est à dire, pour résumer grossièrement, pouvoir rembourser un prêt, seul ou en couple, avec ou sans aide financière de nos proches.

La tendance actuelle pour les événements en ligne dans le domaine de l’immobilier, de l’entrepreneuriat ou d’autres domaines pour gagner de l’argent, et connaître l’indépendance financière, ce sont les challenges de 5 jours avec création de communauté en ligne avec système de classement à l’engagement.

Il y a généralement plusieurs milliers d’inscrits à un grand événement francophone pour apprendre les fondamentaux dans un domaine et évoluer.

Ceux qui sont débrouillards, et se dégagent du temps de libre pour se mettre au travail, peuvent y arriver par eux-mêmes.

Bien sûr, ces événements, de 20h à minuit ou plus, proposent des offres de formation et d’accompagnement pour aller plus vite ou gagner plus.

L’expérience et le niveau des organisateurs leurs permettent d’en arriver à des offres qui varient de 1000€ à 2500€ à l’entrée, pour chaque membre payant.


Voyons maintenant comment faire de l’immobilier sans capital, une opportunité pour les locataires pour dénicher une première opportunité en or, qu’ils ne peuvent pas financer eux-mêmes.

Maintenant que je vous l’écris, vous allez me dire, c’était de l’évidence, seulement, si je vous demande comment ajouter un zéro à vos revenus actuels, là, ça devient déjà plus compliqué. C’est pourtant ce qu’ont réussi à faire à plusieurs reprises des organisateurs d’événements en ligne.

Pas par des organisateurs vendeurs de rêves comme c’est si simple de le penser. Des organisateurs qui ont réussis avec de l’apprentissage, de l’expérience et de la pratique du terrain.

Ainsi, pour acheter un bien immobilier sans capital, l’embellir et le revendre, il faut connaître les personnes qui ont les moyens de financer votre projet s’il est viable.

C’est dans ce cadre que l’on peut sortir du schéma classique de l’emprunt à la banque sur 25 ans.

José D.